École de Printemps :  Territoires en Santés 

  • Type d'évènement : Campus Anthropocène
  • Dates : Du 31 mars au 4 avril 2025
  • Lieu : Montpellier

Du 31 mars au 4 avril 2025, Montpellier accueillera la cinquième édition du Campus Anthropocène, un événement unique réunissant chercheurs, élus, techniciens, artistes et associations. Organisé par l’Institut ExposUM et le Centre des Politiques de la Terre, cet atelier interdisciplinaire explorera une question cruciale :

Comment vivre en bonne santé en Anthropocène sur le territoire de Montpellier ?

Face aux défis du changement climatique, de l’expansion urbaine et de la pression sur les ressources (eau, air, sol), le Campus Anthropocène vise à décloisonner les savoirs en mêlant sciences de l’environnement, écologie politique, urbanisme et art.

En croisant recherche scientifique et expériences de terrain, cet événement ambitionne de réinventer les politiques publiques pour construire des territoires résilients et durables.

Un rendez-vous à ne pas manquer pour réfléchir collectivement à l’avenir de l’habitabilité des territoires.

Les ateliers sont sur inscription, cependant l’après-midi du lundi est ouverte à tous.


Le lundi 31 mars, de 14h à 21h, une après-midi dédiée à la découverte et au partage autour des thématiques de l’habitabilité, des territoires en bonne santé et des solutions basées sur la nature marquera le lancement de l’École de Printemps.

Cet événement est ouvert à toutes et tous, que vous soyez simplement curieux.se ou déjà expert.e, et vous permettra d’approfondir votre compréhension des enjeux environnementaux et de notre relation aux milieux de vie sur le territoire de Montpellier.

Le buffet sera proposé gratuitement. En soirée une performance théâtrale vous transportera dans un futur proche, où un nouveau service public sera instauré pour gérer les relations avec les non-humains. Une exposition interactive vous plongera dans les enjeux de santé et d’environnement du territoire montpelliérain, abordant des thèmes tels que la santé des rivières et la qualité de l’eau, la présence de la faune sauvage en ville (sangliers et ragondins), ainsi que la végétalisation et l’impact des moustiques.